Novembre 2014
LE MONDE DE L'INTELLIGENCE
Septembre 2013
Musique en fête : cela fait aussi du bien aux fonctions cognitives
21/06/2013
La musique, dit-on, adoucit les mœurs. Oui, mais pas seulement. Lamusicothérapie a de multiples applications, notamment des effets bénéfiques sur la mémoire. Des spécialistes réunis par l’Observatoire B2V des Mémoires créé par le groupeB2V afin de soutenir la recherche sur la mémoire, d’informer et de contribuer à l’émergence des moyens de prévention, ont fait le point.
Selon la Haute Autorité de santé (HAS), la musicothérapie fait partie des interventions dont l’efficacité est une des mieux établies dans le traitement de certains symptômes psychologiques et comportementaux.« Cette méthode vient en complément de la prise en charge médicamenteuse », a précisé Cécilia Jourt-Pineau (musicothérapeute àl’HIA du Val-de-Grâce, à Paris). Elle peut ainsi contribuer à stimuler la mémoire et à maintenir le lien affectif et social des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. La musique permet aussi aux enfantsautistes de sortir de leur isolement. Elle peut aussi aider à soulager la douleur en soins palliatifs.
Les interventions doivent être réalisées par un personnel formé. « Il existe des formations sur trois ans à l’université de Montpellier, Paris-Descartes, Nantes, ainsi qu’à Dijon et Bordeaux. Cependant, le métier de musicothérapeute n’a pas encore de statut juridique et n’est pas reconnu comme métier de santé », a déploré Cécilia Jourt-Pineau.
La madeleine de Proust musicale
Un bilan psychomusical est effectué avant toute prise en charge par lemusicothérapeute, des objectifs sont fixés, un parcours personnalisé est établi avec au final une évaluation de cette prise en charge.
On distingue deux approches : la musicothérapie « active » qui privilégie l’expression du patient par des techniques telles que le chant, l’improvisation instrumentale ou gestuelle et la musicothérapie réceptive qui privilégie l’écoute de la musique afin de faciliter la concentration et la mémoire. Cette approche peut aussi faire surgir des émotions enfouies (« madeleine de Proust musicale »).
La musique est un très fort stimulus émotionnel et l’émotion qu’elle véhicule est un moyen permettant de stimuler les fonctions cognitives.
« Une réflexion s’impose également face à la multiplication des supports électroniques de stockage d’information musicale (ou autre), d’accès facile et rapide et qui offre des capacités inouïes d’accroissement des mémoires externes, mais qui peuvent aussi changer nos mémoires internes », a conclu le Pr Jean-Gabriel Ganascia (université Pierre-et-Marie-Curie, Paris-VI).
23/05/2013
Même chez les patients ventilés, la musique exerce ses propriétés apaisantes et bienfaisantes. Dans une étude chez 373 patients ventilés hospitalisés dans l’une des 12 unités de soins intensifs de Minneapolis, les chercheurs ont constaté une diminution de 36% du niveau d’anxiété dans le groupe (n=126) ayant libre accès à une sélection de leurs morceaux favoris par rapport aux patients sans musique. Par voie de conséquence, la consommation de sédatifs dans ce groupe « privilégié » était diminuée de 38% par rapport aux autres.
L’étude comprenait deux groupes contrôles, l’un recevant les soins habituels, l’autre ayant le choix de porter des écouteurs « bouchons d’oreille » pour s’isoler du bruit ambiant. Le groupe des 126 patients avait la possibilité d’écouter une sélection de morceaux choisis à l’aide d’écouteur. « La musique écoutée par les patients était adaptée en fonction de leurs préférences musicales identifiées par une musicothérapeuthe de l’équipe », explique le Dr Linda Chlan (Ohio State University), l’auteur principal. Les vieux morceaux et la musique classique étaient les 2 choix préférés.
« L’auto-administration » joue un rôle important
Sur une période de 5 jours, les niveaux d’anxiété et de sédation étaient mesurés quotidiennement dans chacun des 3 groupes. Si le groupe musique avait besoin de doses plus faibles de sédatifs que le groupe « bouchons d’oreille », la réduction de l’anxiété et de l’intensité sédative n’était pas aussi significative. Le groupe musique a écouté pendant 80 minutes par jour, tandis que le groupe « bouchons d’oreille » a mis les écouteurs pendant 34 minutes.
Pour le Dr Chlan, « l’auto-administration » joue un rôle important, « les patients se sentent plus satisfaits de la prise en charge de la douleur, quand ils peuvent s’administrer leur propre médicament ». Les patients ventilés ne peuvent pas habituellement exercer de contrôle sur leur prise antalgique. « C’est inhabituel de responsabiliser les patients de réanimation et cette étude est novatrice dans le sens où les patients décident quand ils veulent écouter de la musique ». Pour le Dr Chlan, écouter de la musique, ce n’est pas seulement une activité agréable, cela met en jeu un mécanisme très complexe au niveau du cerveau, capable de bloquer des stimulus désagréables liés à l’hospitalisation.
Dr I.D
Livret santé
Le magazine tunisien du mieux vivre
http://www.livretsante.com/
Bébé trop petit ? En avant la musique
La
musicothérapie a toute sa place en néonatologie. S’adressant aux bébés
hospitalisés et à leurs parents, elle recrée pour eux une ambiance déstressée,
rassurante et propice à la communication. Par le biais de rituels musicaux bien
codés, elle met en valeur leur force de vie et leurs aptitudes relationnelles.
Dur, dur
d’être un bébé prématuré. Et dur aussi, parfois d’être son papa ou sa maman.
Comment lui offrir le cocon rassurant dont il a tant besoin alors que chaque
minute constitue parfois une lutte acharnée pour la vie ? Peut-être en
s’abandonnant un moment dans un univers fait de sons et d’émotions partagées.
Le bébé et
sa maman : une relation fusionnelle
Qui oserait contester l’importance
de la relation mère /nourrisson dès les premiers jours de la vie ? Mais ce
que l’on sait moins, c’est que cette relation fusionnelle ne s’arrête pas à la
satisfaction de ses besoins nutritifs, et qu’elle s’établit sur un plan
affectif intime. La maman procure non seulement sécurité et protection, mais
elle incarne valeurs affectives et communicationnelles qu’elle est chargée de
transmettre. La musique permet de mettre en place une communication
non-verbale, par les berceuses, créant ainsi l’un des premiers pas vers de
futurs échanges.
Une chanson douce
On sait aussi que la musique renvoie
le nourrisson à sa vie prénatale lorsque le fœtus percevait les sons de
l’extérieur et la voix de sa mère à travers le liquide amniotique. Ces sons,
filtrés sous forme d’échos et captés par l’oreille fœtale de telle manière
qu’après la naissance, le nourrisson serait capable de connaître les mélodies
familières et particulièrement la voix maternelle. Il préfère cette voix et les
chansons écoutées in-utéro (dans l’utérus), plus que les autres, puisqu’il est
habitué à les entendre depuis sa plus tendre enfance intra-utérine. Le plus
souvent, il se calme au son de ces mélodies familières et des berceuses
chantées par sa maman.
De bruit et de fureur
Le nouveau né prématuré qui vient de
sortir de son environnement fœtal confortable et serein, se retrouve
brusquement dans un environnement inconfortable et devient d’un seul coup sujet
à des procédures médicales douloureuses : un niveau sonore élevé, une
lumière vive, des procédures de soins pénibles… Sa maman, de son côté, sous le
coup du stress, est parfois incapable de le protéger et de recréer pour lui
l’environnement harmonieux dont il a tant besoin. Ces diverses agressions
peuvent entraîner chez ce petit être
fragile une baisse du taux d’oxygène dans le sang (une hypoxie) et un déséquilibre
cardiaque, nécessitant souvent une prise en charge immédiate.
La musicothérapie : une solution ?
L’efficacité de la musique en
néonatologie a été maintes fois démontrée. En absorbant les bruits nocifs des
services de néonatologie et en offrant au bébé hospitalisé ses premières notes
de musique, le musicothérapeute aide le nourrisson à retrouver l’équilibre
intérieur. Il peut créer de véritables moments d’harmonie, notamment lorsque l’enfant
et ses parents vibrent à la même composition ; dans de pareils cas, la
musique stimule le système cardio-respiratoire du bébé prématuré, permet une
bonne oxygénation de son sang, améliore sa motricité et son système
d’attachement et crée un climat de détente et de sécurité. Tout ceci en
réduisant le comportement de stress du bébé et de ses parents.
De quelle musique s’agit-il ?
Si la musique enregistrée peut être
utile, elle reste artificielle et rien ne vaut une chansonnette fredonnée par
la maman ou par les musicothérapeutes. Les berceuses, véritables concentrés
d’émotions, d’amour et d’affection sont les premiers stimulants du nouveau-né
prématuré dans sa vie post-natale. « Au clair de la lune »,
« nenni nenni jak innoum », « diki diki sadiki », « hakka
yimchi yakhtou », pour ne citer que celles-ci sont autant d’exemples de
berceuses pouvant susciter un état de détente et de relaxation chez le nouveau
né grâce à leur mélodies douce et légère et à leur rythme apaisant.
Stéphanie Lefebvre, musicothérapeute
en néonatologie à Senlis a témoigné, dans le cadre des journées cliniques de
musicothérapie*, l’importance de la prise en charge musicothérapique en
néonatologie.
La démarche de musicothérapeute avec
les prématurés a pour but de mettre en lumière l’humanité du bébé prématuré
dans son contexte, à travers une réponse proposée à ses besoins sensoriels et
affectifs, et la mise en valeur de ses compétences ainsi que des es aptitudes
relationnelles déjà en place.
Selon elle, « Chanter sur le
berceau ou la couveuse d’un bébé, c’est l’aimer, c’est l’accueillir. Lui offrir
un chant, c’est mettre en situation une relation, dans cette interaction
(donner/recevoir), c’est stimuler cette relation. »
Elle ajoute que la musicothérapie en
néonatologie est un soin accordé au bébé hospitalisé ainsi qu’à ses
parents : « L’harmonie des sons, la rêverie poétique, la beauté d’une
mélodie, le plaisir ressenti dans la vibration et la résonnance de la voix,
accompagnent le bébé et les parents pendant le temps d’hospitalisation. »
Rihab Jebali
* Institut de musicothérapie de
Nantes - mars 2011
Psychologie magazine, décembre 2011
ITW de Edith Lecourt
ITW de François-Xavier Vrait, actuel Président de la FFM et directeur de l'Institut de musicothérapie de Nantes
Santé Magasine, mars 2009
Psychologie.com Novembre 2011
© Jupiter
Utiliser la musique pour parler de lui et de ce qui le touche sans en parler vraiment. Pour laisser place à ses émotions et se confronter à celles d’autrui. Ou encore, pour s’exprimer autrement qu’avec des mots qui ont tant de mal à trouver la sortie… Voilà autant de bonnes raisons d’orienter un ado en difficulté vers la musicothérapie.
Sommaire
- Une thérapie à médiation
- L’adolescent et le sonore
- Se confronter aux émotions
- Créer ne signifie pas maîtriser
- Evoluer à travers l’atelier
L’un a travaillé en hôpital psychiatrique, l’autre en foyer pour jeunes, mais tous deux ont expérimenté la musicothérapie dans leur pratique auprès d’adolescents. Des ateliers qu’ils ont menés sur plusieurs mois, parfois plusieurs années, et durant lesquelles ils ont pratiqué à la fois la musicothérapie dite réceptive, fondée sur l’écoute d’extraits musicaux, mais aussi, et surtout, la musicothérapie active, basée sur l’utilisation d’instruments et de la voix. Le psychanalysteOlivier Douville et la psychologue Gabrielle Fruchard nous expliquent en quoi cette prise en charge correspond particulièrement à cet âge charnière de la vie qu’est l’adolescence.
Une thérapie à médiation
Il existe d’autres types de thérapies à méditation, telles que l’art-thérapie oule psychodrame.
La plupart des thérapies classiques reposent sur le même principe : elles utilisent la parole et la communication. Or, à l’adolescence, dire son mal-être, ou son malaise, peut être d’autant plus difficile que l’on se trouve souvent dans une phase de rejet. Le jeune patient n’arrive pas à verbaliser ses difficultés, et dans bien des cas, il n’en n’a de toute façon pas envie ! S’asseoir une heure durant face à son thérapeute et tenter, tant bien que mal, d’échanger sur ses émotions et son fort intérieur : très peu pour lui. « Il nous faut donc chercher des modalités de communication, de prise en charge et de soutien d’un autre type, explique la psychologue Gabrielle Fruchard. La médiation, c’est-à-dire le fait d’utiliser un média pour cela, permet au patient de parler de la musique, que ce soit celle qu’il vient d’écouter, ou celle qu’il vient de produire, avec le sentiment de parler de quelque chose d’extérieur. C’est toute la question de la stratégie du détour, qui permet de parler de ce qui nous touche sans en parler directement, sans s’en rendre compte. » Utiliser la musique avec les ados revient en fait à utiliser le jeu ou le dessin avec les enfants.
L’adolescent et le sonore
Et si c’est justement la musique que certains psys choisissent d’utiliser à destination des ados, c’est qu’il s’agit d’un média bien plus pertinent à cet âge que le jeu ou le dessin. « En effet, précise Oliver Douville, l’adolescence est une époque où le rapport des jeunes au sonore se transforme. La voix par exemple, et en particulier celle des garçons, change, elle mue. Et devient ainsi un objet pulsionnel très privilégié à cet âge-là. Le cri aussi. Mais à l’adolescence s’opère également un changement de langue : on ne parle plus la langue familiale, ni la langue maternelle. Les ados ont besoin d’attaquer les figures conventionnelles. Avec la musicothérapie, nous essayons de comprendre comment ce passage d’un corps à un autre, d’une voix à une autre, d’un environnement sonore à un autre, d’une langue à une autre, peut donner lieu à des expériences qui n’enferment pas le sujet dans ses énigmes, dans ses inquiétudes. Au contraire, il s’agit de l’aider à s’ouvrir à un autre monde, que l’on peut considérer ici comme un monde esthétique. »
Se confronter aux émotions
Colère, tristesse, nostalgie, enthousiasme… La musique laisse rarement place à l’indifférence. La musicothérapie est donc l’occasion, que ce soit par l’écoute ou le jeu, de se confronter à ses émotions. Mais à l’adolescence s’ajoute en plus la relation triangulaire entre les parents, le jeune et la musique. « Lorsque je demande aux ados de parler de leur rapport à la musique, nombreux sont ceux qui confient s’endormir avec la chaîne-hifi allumée ou les écouteurs dans les oreilles, ce qui peut être interprété comme la recherche d’une berceuse, loin de la voix de la mère. Il y a aussi ceux qui expriment de la frustration, si leurs parents les empêchent d’écouter la musique qu’ils aiment. Ou encore ceux qui en sont dégoutés, parce qu’ils ont été contraints d’apprendre le solfège. » Ecouter de la musique, en jouer, en parler… Trois façons d’accéder à leurs émotions enfouies, et de leur permettre de s’exprimer. « De plus, ajoute Olivier Douville, faire de la musique avec quelqu’un nécessite à la fois de se soumettre à son regard, mais aussi de se confronter à ses émotions. Grâce à la musique, et à la possibilité qui lui est donnée de répondre, l’ado apprend à accueillir l’émotion d’un tiers sans la vivre comme une intrusion. »
Créer ne signifie pas maîtriser
Il n’est pas nécessaire de savoir jouer d’un instrument pour faire de la musicothérapie. Le but de cet atelier n’est pas de maîtriser ou d’être amené à maîtriser la musique, au contraire. Être musicien peut même nuire à la réussite d’un tel travail sur soi, car c’est prendre le risque de se réfugier dans la technique ou la performance, plutôt que d’essayer vraiment d’accéder à ses émotions. « Il s’agit d’un travail de communication interpersonnelle, d’expression de soi, et de quelque chose de l’ordre de la création. Mais pas de la création artistique, insiste Gabrielle Fruchard. D’ailleurs, je privilégie personnellement des instruments peu connus, et donc forcément, non maîtrisés. Car l’objectif, c’est de faire de la création pour soi. » Trouver dans la musique un espace personnel d’expression, tel est avant tout l’objectif de la musicothérapie.
Evoluer à travers l’atelier
Mais alors, si la technique et la maîtrise ne comptent pas, quelle possibilité d’évolution offre une telle thérapie ? « C’est l’évolution de l’expression musicale du patient que l’on peut interpréter, explique Olivier Douville. Comme cet ado qui tapait comme un forcené sur les tambours au début et qui a progressivement appris à laisser de la place aux autres. Ou ce jeune patient qui se contentait le premier jour de faire timidement tinter une cymbale et qui est parvenu à composer des séquences entières. » Mais c’est aussi la capacité des patients à laisser place à leurs émotions, et surtout, à ramener en eux les enseignements de la thérapie. « Je me rappelle d’un patient qui était très bavard, se souvient la psychologue. Il nous saoulait de paroles, mais ne disait que des choses très superficielles, ce qui lui permettait en réalité de ne rien exprimer. Après un an de musicothérapie, il m’a avoué avoir trouvé dans la musique un engagement bien plus fort que dans la parole, tant au niveau émotionnel qu’affectif. Lors de la dernière séance, il avait conclu en disant : ”Maintenant, je me rends compte qu’il faut que je sois différent. Et je vais le montrer avec mes notes, pas avec mes mots.” Grâce à la musique, il avait tout compris, de lui. »
Pourquoi Accords mineurs sonne triste?
RépondreSupprimerLa Théorie de la "musical équilibration" dit contrairement aux hypothèses précédentes - .la musique ne décrit pas directement émotions: à la place la musique évoque processus de volitions, avec qui l'auditeur identifie.
Un accord majeur est quelque chose que nous identifions avec le message, «Je veux!" L'expérience de l'écoute d'un accord mineur peut être comparé au message véhiculé quand quelqu'un dit: «non plus." Si quelqu'un venait à dire les mots "non plus" lentement et calmement, ils créer l'impression d'être triste, si quel'qun dit les mots haut et fort rapidement, Ils seraient apparaissent comme des furieux. Donc cette distinction applique pour le caractère émotionnel d'un accord mineur: si une harmonie mineure est répété plus rapidement et à plus grand volume, sa nature triste semble avoir soudainement transformé en fureur.
La Théorie de la "musique équilibration" applique ce principe comme il construit un système qui décrit et explique la nature émotionnelle des harmonies musicales. Pour plus d'informations, vous pouvez google "musical equilibration".
Bernd Willimek
Pourquoi Accords mineurs sonne triste?
RépondreSupprimerLa Théorie de la "musical équilibration" dit contrairement aux hypothèses précédentes - .la musique ne décrit pas directement émotions: à la place la musique évoque processus de volitions, avec qui l'auditeur identifie.
Un accord majeur est quelque chose que nous identifions avec le message, «Je veux!" L'expérience de l'écoute d'un accord mineur peut être comparé au message véhiculé quand quelqu'un dit: «non plus." Si quelqu'un venait à dire les mots "non plus" lentement et calmement, ils créer l'impression d'être triste, si quel'qun dit les mots haut et fort rapidement, Ils seraient apparaissent comme des furieux. Donc cette distinction applique pour le caractère émotionnel d'un accord mineur: si une harmonie mineure est répété plus rapidement et à plus grand volume, sa nature triste semble avoir soudainement transformé en fureur.
La Théorie de la "musique équilibration" applique ce principe comme il construit un système qui décrit et explique la nature émotionnelle des harmonies musicales. Pour plus d'informations, vous pouvez google "musical equilibration".
Bernd Willimek